un océan de distance

Combien des océans, je dois traverser, pour te faire un câlin, en plus des mers que j'ai déjà voyagé?

Perdu entre des continents, je ressens froidement des moments pleins de nostalgie
Les sourires hauts et beaux, les couloirs et les pierres que l'on a croisés
Les montagnes que l'on a montées et notre façon de plonger l'un dans l'autre

Peut-être cela est notre histoire, les amants qui dansent pendant les éons
Dans ce moment fluide de pure sincérité

Et si je me permets pour un instant
Que les mots, qu'arrivent sur ma tête, sortent vers le papier
Dans ce cas vers l'écran noir avec un derrière-plan des étoiles
Si j'enlève des barrières qui m’empêchent de penser
Ouvrir les portes de ma cage thoracique puisqu'ils sortent des mots

Sera-t-il notre temps déjà fini?
Je ne veux pas, je ne veux pas que toi-et-moi, que cela cesse d’exister

Maintenant, je réfléchis si je dois publier ce texte ou le publier au futur
Quand personne ne sait rien et que rien influence qui nous sommes enfin
Fin, il n'existe pas des rêves sans des cauchemars
Ni nuits sans journées après

Mais sur l'instant je voudrais bien un petit câlin
Quelque chose pour réduire le froid de ce pays
Je voudrais ressentir amour, le ressentir, brûler dans le cœur
J'ai peur, j'ai peur que j'aie lui perdu
Peur que pour encore une fois
Tout qui me reste, c'est l’obscur, où tout
Tout que l'on fait
N'aura pas de signification

et des excuses que l'on parle
ne fait que nous mettre esclaves

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